Cet essai développe une communication présentée au colloque «Que faisons-nous du négatif?», organisé en décembre 2002 par l'Institut de la pensée contemporaine. J'y avais posé la question de savoir ce qu'eux avaient fait du négatif - eux, les Grecs - et plus précisément, ce qu'en avaient fait, après Parménide, le penseur de l'Être (mais aussi, moins connu, celui de l'Amour), Leucippe, le philosophe du vide (et du plein), et Empédocle, celui de la Haine (et de l'Amour). Au lecteur de juger s'«ils» nous parlent encore de «notre» négatif.
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