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Philosophie et politique font-elles bon ménage ? On peut se le demander. La crise politique actuelle trouve son origine dans un désordre intellectuel : la confusion des genres. Car c’est une habitude bien française de voir le monde politique à la recherche de certitudes se tourner vers les intellectuels. Un jeu particulièrement dangereux à l’heure où les philosophies à la mode condamnent l’action. C’est cette perversion que dénonce Nicolas Tenzer qui soumet à une analyse sans concession les engouements du moment. La paralysie politique dont nous souffrons doit beaucoup à la prétention d’une certaine philosophie à régler les affaires du monde. Mais de la recherche d’un consensus préalable à toute action au désir de justifier celle-ci par l’appel aux théories en vogue, le politique n’est pas moins responsable. Dans cet essai vivant et iconoclaste, au style virulent, Nicolas Tenzer ne se limite pas à la critique. Il propose aussi de rénover l’action politique, en lui montrant qu’à fuir la réalité pour les idées et en inventant de faux problèmes pour ne pas traiter des vrais, elle fait fausse route et se condamne à l’impuissance. Et l’auteur de conclure que c’est d’une révolution de la pensée dont la société française a besoin pour affronter l’avenir.