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Ce Théâtre depuis 1968, celui qu’a choisi de nous raconter Colette Godard, est l’histoire d’une aventure, celle des petits enfants de Jean Vilar, nés ce jour de juillet 1968 où les dieux du Living Theatre ont quitté Avignon, laissant derrière eux s’éteindre la fête, semant sur les routes les débris de leur utopie anarchiste non violente. Fils de Planchon, frères de Chéreau, élèves de Vitez, ils veulent un théâtre populaire en édition de luxe. Et parce que le théâtre est devenu pour eux un moyen de comprendre ce qui se passe au dehors, ils choisissent leur famille en France ou ailleurs, chez les Grotowski, Ronconi, Bob Wilson, Peter Stein..., chez les philosophes ou les pop stars, dans les bandes dessinées, le cinéma ou la peinture. Arrivés au théâtre dans un climat confus, ayant subi les contre-coups des élections de la peur, ils ont rêvé sur le programme commun. Plus leur angoisse est profonde, plus leur misère est grande, plus la beauté leur sert à affirmer leur dignité. C’est néanmoins à son propre voyage que nous convie ici Colette Godard, comme à son bonheur de se balader à l’intérieur de l’image théâtrale. Et pourtant, dit-elle, "le théâtre n’est pas là pour provoquer des frissons esthétiques mais la marche de la pensée".