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Les gens souhaitent la fin de la tyrannie. Le narrateur du roman prend le contre-pied : il forme des voeux pour la disparition de... l'Ennemi de la terreur, un type barbu nommé Zik. C'est que le quidam est son sosie, la police a juré sa perte. Commence une série d'aventures. Notre Charlot ou Woody Allen évolue dans un pays imaginaire où la disparition des kalachnikovs a fait surgir un régime chapeau haut-de-forme et parapluie. A peine moins inquiétant que le précédent... Aigu, rapide, non pas à la manière d'un torero posant ses banderilles, mais comme peut l'être un Kafka dans ses courts récits métaphoriques. Michel Nuridsany (Le Figaro Littéraire) Il est un fiévreux à froid, qui grignote ses hallucinations pour aller se promener sur les toits du somnambulisme, là où tout est vertige. Alain Bosquet (Combat) Sa protestation a pris la forme originale de tableaux fantastiques où grouillent des monstres à la Jérôme Bosch. Jacqueline Piatier (Le Monde) On pense naturellement à Kafka, et aussi à Henri Michaux de la Grande Garabagne et de Poddema... Roben Kanters (Revue de Paris) On a de ses récits l'impression qu'ils nous viennent d'un monde en orbite à des années-lumière de nous. Pourtant la distance qui nous en sépare est minime. C'est ici le grand art de Tardos, un envers si vous voulez des " Lettres -Persanes ". Pierre Daix (Le Quotidien de Paris)