On croit que la mort éloigne, mais c'est le
contraire : la mort rapproche. C'est un peu comme si en
parlant de ma mère avec Anne, en repensant à elle sans
cesse, je l'aimais plus et, en l'aimant plus, je la faisais
revivre.
À travers les souvenirs du petit garçon qu'il
était, Antoine Silber esquisse le portrait d'une mère
à la fois crainte et admirée, tour à tour fantasque et
ombrageuse.
Une douce élégie à la mère disparue qui
dessine le puzzle d'une enfance de l'après-guerre.
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