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Pour un certain nombre d'esprits, qui ne sont pas les moindres entre nous, le printemps ramène un vieux problème toujours nouveau parce qu'il n'est jamais résolu. Les plus honnêtes gens et les meilleurs citoyens, - car il en reste, - éprouvent un sentiment voisin de l'angoisse chaque fois que l'autorité les convie à une exposition des beaux-arts. Où le vulgaire ne voit qu'un spectacle à lorgner, quelques-uns trouvent l'occasion solennelle et obligatoire de dresser un bilan, de voir où nous en sommes, de comparer les pertes et les recrues de l'année, de constater le progrès ou la décadence de l'art français. C'est à ce public limité, mais d'autant plus considérable, que s'adresse la Revue. Nous n'avons pas la prétention de discuter, ou de décrire, ou même d'énumérer toutes les oeuvres passables que la France a produites dans l'espace d'un an; notre but est de déterminer la direction et de mesurer la vitesse des courants qui emportent l'art national vers le mieux ou vers le pire.