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« Voici son dernier jour à la Xenon. Fin du charivari de biberons et de rapports, de trains de banlieue, de fêtes d’école, de mots d’excuse, de contrôles techniques et de vaccins en retard, et les gros chagrins à six ans et six heures du soir quand le frigo est vide et que le téléphone sonne. Désormais, elle prendra la mesure des choses. L’une après l’autre. Elle vivra une seconde enfance auprès des petites, goûtant à nouveau la naïve plénitude des choses minuscules, gommettes et gouttes de pluie. » Délia aurait voulu que cette journée, la dernière avant son congé parental, soit réglée comme du papier à musique. Elle avait tout prévu, sauf de se laisser déborder par elle-même. Jusqu’à commettre l’irréparable. Ce court roman nous entraîne dans vingt-quatre heures de la vie d’une femme et nous fait assister, impuissants, à son destin qui bascule. En distillant subtilement tous les signaux d’alerte, Isabelle Marrier campe une inoubliable Délia et écrit une tragédie aussi parfaite qu’un crime.