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Le nœud de la question linguistique au Maghreb est la revendication de telle ou telle langue à l’exclusion de telle ou telle autre, au nom d’une identité imaginaire. Il s’agira de l’arabe à l’exclusion du berbère, de l’arabe coranique à l’exclusion des dialectes... Or, l’identité, au nom de laquelle on revendique telle ou telle langue, est elle-même définie à partir de cette langue. En effet, est arabe qui parle arabe, berbère qui parle berbère... Cependant, par ce raisonnement circulaire, le Maghreb ne risque-t-il pas l’asphyxie ? Dans ce cas, faut-il rompre ce nœud, et si oui, comment ? L’auteur qui a publié l’ensemble des textes de cet ouvrage entre 1779 et 1990 soulève ici la question identitaire berbère à travers la langue et la littérature. Récemment, la plus haute autorité de l’État au Maroc – pays où vit la plus importante communauté berbère –, vient de reconnaître la nécessité d’enseigner les dialectes berbères. Ce qui montre que les problèmes soulevés dans cet ouvrage ont leur importance dans le débat ainsi annoncé.