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Choisir un fait d’actualité, le décortiquer, en extraire les contradictions et les non-dits pour enfin donner à voir à travers lui le trouble d’une époque marquée par une crise sans précédent – celle de notre relation périlleuse à la planète, au vivant, à nous-mêmes –, c’est l’exercice auquel se plie Stéphane Foucart, deux fois par mois, en dernière page du Monde. Depuis dix ans, ses chroniques racontent sans détour la guerre que nous livrons à l’avenir, elles dévoilent la diversité des moyens mis en œuvre pour contourner la connaissance et éviter d’agir, pour feindre ou fabriquer l’ignorance des conséquences de nos actions. En une décennie, alors que la physionomie du monde a considérablement changé, nos sociétés sont restées figées face au défi de la réinvention de nos aspirations, de nos politiques publiques, de nos économies. Les textes choisis et rassemblés ici par Jil Silberstein expliquent pourquoi.
Journaliste, chroniqueur et essayiste, Stéphane Foucart est chargé de la couverture des sciences de l’environnement au journal Le Monde.
Auteur d’une trentaine d’ouvrages, l’écrivain franco-suisse Jil Silberstein suit attentivement les écrits de Stéphane Foucart depuis ses débuts.