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Une île fort exotique, une fille qui s’ennuie, un inventeur, des tueurs, des mercenaires et un bateau, bien sûr. Et puis, après une explosion, quatre rescapés qui s’en vont, sans peur ni reproche, pour le pôle Nord.
Publié en 1979, Le Méridien de Greenwich est le premier roman de Jean Echenoz.
« On est en pleine série noire. Autour du secret, les comparses tombent comme des mouches. Russel, l’exécuteur aveugle, au sens concret du mot, a la main infaillible. Tueurs en loden vert, petits malfrats, patrons à couverture respectable, patronymes à coucher dehors, pauvres poulettes égorgées, tous les clichés, tous les stéréotypes du genre policier – roman ou film – sont mobilisés. Autour du secret d’un inventeur – Byron Caine ! – secret dont la possession met aux prises deux organisations (…). Ce premier livre éveille l'intérêt par sa maîtrise et son tremblé. (...) Et le méridien de Greenwich ? dira-t-on. Il est, je crois, le signe de la recherche d'Echenoz. De chaque côté de cette ligne imaginaire cohabitent une journée et son lendemain. C'est un scandale, dit l'inventeur, c'est la preuve que l'on n'est jamais arrivé à concilier le temps et l’espace. À suivre. » (Georges Raillard, Le Monde, 6 juillet 1979)