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Les trois oeuvres de Marguerite Andersen, De mémoire de femme, Parallèles et Le figuier sur le toit, s'écrivent autour d'un thème : le mélange de la réalité et de la fiction. Il s'agit ici d'une étude de l'écriture autofictionnelle, qui se rattache étroitement à la quête identitaire du personnage. Tout cela renvoie bien à la motivation de l'écriture de l'auteure : d'un côté, elle partage ses témoignages personnels avec celui qui vit aussi dans un contexte multiculturel, de telle manière que son écriture participe d'une pédagogie. De l'autre, elle parle au nom d'une femme écrivaine, de façon à contribuer à la lutte de la femme pour un avenir plus lumineux dans la société. Après la première partie consacrée à la construction de l'identité entre le personnage, la narratrice et l'auteure, la deuxième analyse l'écriture du temps et de l'espace, et la troisième porte sur l'hétérogénéité narrative dans les trois oeuvres. Enfin, la cohérence dégagée dans les trois oeuvres donne à réfléchir sur des thèmes constants et le mécanisme exploré par l'auteure dans d'autres oeuvres, elle renvoie à la contribution de l'écriture andersenienne à l'écriture au féminin, à la littérature francophone.