Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
" Les chrétiens d’Afrique craignent les amants qui reviennent de l’au-delà pour accompagner leur veuve au creux des heures les plus sombres, quand tout ce qui vit se tait et que seuls les murmures des morts résonnent à l’oreille des vivants. Alors, je n’ai pas osé dire à Aïna que jamais J. ne m’avait vraiment quittée. Il me visite la nuit, me rappelant notre pacte de sang et de cendres, respectant les promesses que nous nous sommes faites devant son urne fumante de l’amour qui ne meurt jamais. Il est mon éternel amant, mon mari de nuit. "
Jennifer Kerner, docteure en archéologie, raconte comment est née sa passion pour l’étude des rites funéraires dans les civilisations anciennes ou contemporaines. Le récit de cette expérience professionnelle alterne avec des passages où elle s’adresse à son premier amour, J., mort brutalement à vingt ans. Sur les chantiers archéologiques à travers le monde, ses nombreuses rencontres illustrent, de façon paradoxalement joyeuse, comment les humains s’accommodent de l’absence des êtres chers, par quelles pratiques étranges et sophistiquées. Ce livre, entre l’essai et le récit personnel, est aussi l’occasion d’une méditation étonnée sur l’appauvrissement des rites occidentaux.