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A des kilomètres de Dallas, dans un quartier de Paris dont la vie s’organise autour du Café des Arts, l’assassinat de Kennedy est vécu comme un traumatisme. On regrette l’homme, on plaint sa veuve, on cherche le coupable. Au cours des parties de cartes, chacun y va de sa théorie. Sauf Hugo.
Hugo Fraise, comptable pour un taxidermiste sceptique, mais surtout écrivain prolixe dans le secret de son petit appartement. Il est le seul à savoir que Kennedy a engagé une doublure pour sa tournée au Texas. Comment l’ignorerait-il, lui qui relate scrupuleusement dans un interminable roman-monde le destin sans pareil de cet homme, Rastapan, compagnon d’armes de Che Guevara, sauveur du dalaï-lama, intronisateur de Jean XXIII ? Rastapan dont l’incroyable course à travers l’Histoire vient de s’arrêter net sous les balles de Lee Harvey Oswald ?
Hélas il est des secrets qui sont lourds à porter. Et on ne peut demeurer bien longtemps l’unique dépositaire de certaines informations cruciales sans sombrer dans la folie.
Après des premières pages pleines d’humour, Le Manège des fous n’en finit bientôt plus de tourner. Autour de lui le monde devient flou, réel et imaginaire s’entremêlent, et apparaît alors l’enjeu fondamental de ce nouveau roman de Frédérick Tristan : le rôle – et le pouvoir – de l’écrivain.