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Que reste-t-il du passé ? Quelques souvenirs - idéalisés - ; des tonnes de documents ; des mers d’archives ; des colonnes de chiffres. Des mots, des signes ou du vent insaisissable. Des historiens font bien ressurgir Hier à coups de témoignages et de commentaires mais qui peut restituer les visages, les gestes, le véridique, la « chair d’hier » ? Grâce à Niepce, Daguerre, Eastman et quelques autres, la photographie est devenue la grande servante de la réalité. À la fin du XIXe, dans le premier quart du XXe, il y a dans chaque photographie de ville ou de village un Rouletabille qui sommeille, un Eugène Atget prêt à saisir le cocasse, le pittoresque, l’important, le superflu, le grave, le tragique, le souriant de son quotidien. Le Languedoc, celui du littoral, celui de la plaine, celui de la ville, celui de la montagne n’a pas échappé à la boulimie de la photographie-document. Aussi, à travers l’album de famille de la haute bourgeoisie et les mille yeux des cartes postales de l’époque, c’est un peu le temps retrouvé qui remonte à la surface et vient se fixer sur notre sensibilité.