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'Japon grec. Accolés, ces deux mots suscitent un sentiment d’étrangeté, une impression de chimère. Moitié Apollon, moitié samouraï, moitié Vénus, moitié geisha, dans un décor qui serait à la fois blanc et bleu comme les Cyclades, vert profond et rouge cinabre comme les sanctuaires shinto. Comment deux pays aussi distants peuvent-ils être rapprochés pour former une image cohérente?' L’ouvrage de Michael Lucken permet de suivre la pénétration diffuse de la culture grecque classique dans les arcanes de la littérature, de la philosophie, de l’architecture et des arts japonais contemporains. Entre la fin du XIXe siècle et 1945, le Japon s’est pris d’une véritable passion pour la Grèce antique. La sculpture bouddhique est revisitée à la lumière du corps grec, le théâtre nô est rapproché de la tragédie et l’architecture des banques réinterprète le temple classique! Aujourd’hui encore, bien des mangas et des dessins animés s’inspirent des dieux et héros de l’Antiquité. La façon dont le Japon – qui n’a jamais eu de contact direct avec la Grèce antique – a intégré cet héritage fournit un formidable modèle pour penser le grand problème de l’appropriation des cultures.