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En 1941, l’Allemagne nazie envahit l’URSS, pillant ou démolissant des chefs-d’œuvre uniques, saisissant des fonds entiers d’archives et de bibliothèques. Lorsque l’Armée rouge entre dans Berlin, elle est accompagnée de commissaires et d’historiens d’art chargés de repérer les œuvres qui doivent compléter leurs collections et dédommager l’URSS des énormes pertes qu’elle a subies. Le nazi avait voulu exterminer un peuple et une culture jugés inférieurs ; le communiste se venge. Les Soviétiques ont réussi à cacher cette gigantesque entreprise pendant près de cinquante ans. Le scandale éclate au moment de l’effondrement de l’URSS, lorsque les Russes eux-mêmes révèlent l’existence de trésors inestimables dans les caves de l’Ermitage ou du musée Pouchkine entre autres. Depuis, la presse internationale ne cesse d’évoquer, dans des articles souvent polémiques, le sort des trophées de guerre échoués à l’Est. En Allemagne comme en Russie, la controverse juridique fait rage, et renvoie les deux nations à leur lourd passé. Le dommage causé au patrimoine mondial reste incommensurable ; pourtant, des chefs-d’œuvre oubliés ou disparus surgissent, comme par enchantement, sur un marché de l’art dont le rôle dans ce désastre culturel doit encore être évalué. C’est cette histoire, toujours d’actualité, que Francine-Dominique Liechtenhan raconte ici, dans un véritable reportage, puisé aux meilleures sources soviétiques, russes, allemandes, mais aussi américaines, anglaises, françaises, autrichiennes et suisses. Un livre d’histoire passionnant mais aussi une enquête minutieuse et sans concessions.