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Le fusillé : en cette fin du XXe siècle, cet intitulé peut renvoyer à bien des fusillades tragiques. Ne serait-ce qu’aux tueries organisées par les Einsatzgruppen, les “groupes d’intervention” mis en place par Heydrich à la veille de l’attaque contre l’URSS, le 22 juin 1941, pour éliminer les “indésirables”, les “judéobolcheviks” ; on amenait les victimes au bord de fosses creusées à l’avance, en général par elles, et on les fusillait à la mitraillette ou par feux croisés. Mais on peut aussi — non pas évoquer les horreurs indépassables de la Seconde Guerre mondiale — mais s’arrêter, comme le fait ce livre, sur un fusillé de la boucherie mondiale précédente, celle que les historiens continuent à appeler “la Grande Guerre”. Au-delà de sa mort, de son assassinat, ce fusillé-là continue de s’adresser — en 1994, comme en 1934 lorsque ce livre parut — à nous tous, au nom de tous. Un titre anonyme, une réalité cependant. Un nom en d’autres termes : celui que porte — en bas de la page de couverture — sa femme, Blanche : Veuve Maupas.