Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Savez-vous que les crapauds mangent des vers de terre, pourvu que les lombrics soient propres et guillerets, au point de se tortiller de manière irrésistible ? Que la larve du dytique, un coléoptère aquatique, est l’une des créatures diaboliques les plus repoussantes qui soient au monde, avec une tête cruelle et une paire de mandibules semblables à des lames de faucille sur la tête ? Que la vie des larves de la libellule permet de comprendre comment l’insecte, de crocodile, devient dragon ? Que les notonectes sont des punaises carnivores qui se mettent sur le dos pour nager et flottent sur l’eau la tête en bas, les pattes tendues pour garder l’équilibre ? Qui est Héro allumant une torche pour Léandre dans le chemin creux ? Qui est l’hépiale fantôme ? Ou l’ange de la nuit, qui ressemble à s’y méprendre à un flocon de neige vivant ? Le révérend John George Wood (1832-1889), « le pasteur-naturaliste », est l’entomologiste le plus populaire de l’ère victorienne. L’un de ses livres fut vendu à cent mille exemplaires en une semaine. Conan Doyle raconte la rencontre de Wood avec une cyanée, au large des côtes de Margate, dans l’une des aventures de Sherlock Holmes intitulée « La crinière du lion ».