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Qui était vraiment Friedrich Nietzsche ? Il y a dans sa biographie un trou de trois mois, et c’est là que se trouve peut-être la réponse. En effet, Nietzsche est victime d’une cabale internationale ourdie par Wagner, Lou Salomé, Freud et autres Illuminati, auxquels, moyennant une légère torsion historique, viennent s’ajouter Staline et Atatürk. En 1882, afin d’échapper à cette meute, le philosophe prétend partir pour la Sicile, mais s’embarque en fait pour Chypre. Incognito. À moins que ce ne soit contraint et forcé, puisque, selon une autre hypothèse, captif du rêve d’un lecteur de Zarathoustra, il est entraîné malgré lui dans cette île au statut ontologique douteux. Quoi qu’il en soit, il y passera trois mois indescriptibles, que Le cœur de la terre, roman halluciné et hallucinant, s’emploie à décrire. « Tout ce qui a trait à ce livre que nous soumettons à la curiosité du lecteur ne serait-il pas en fait parfaitement normal ? Ne serait-ce pas plutôt quelque chose dans la structure même de la réalité qui grince sinistrement, quelque chose dans le féerique enchaînement des causes et des effets qui commence à craquer, séparant irrémédiablement le narrateur de son histoire, l’histoire de la narration et le monde de notre représentation du monde ? » Svetislav Basara, écrivain, éditorialiste, ex-diplomate, né en 1953, est le grand trublion de la littérature serbe. Il est à ladite littérature ce que le triangle des Bermudes est à la navigation : un risque permanent de se voir englouti par une dimension qui n’était pas à l’ordre du jour. Sa poétique exalte avec drôlerie l’absurde omniprésent et fait pressentir derrière celui-ci un mystère dont la nature métaphysique est attestée par certains de ses admirateurs et contestée par d’autres.