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Qui fréquente à la fois François Pinault, Vincent Bolloré, Edouard Balladur, DSK, BHL et Jean-Marie Colombani ? Qui a le culot de mener de front la présidence du Conseil de Surveillance du Monde, la déstabilisation boursière du groupe Bouygues et la vente d’Yves Saint Laurent ? Quel auteur peut écrire vingt essais en vingt ans, changer d’avis, se tromper fréquemment et être néanmoins sacré « archevêque de la pensée unique » ? Il est l’incarnation de l’élitisme à la française. C’est Alain Minc. Eminence grise, entremetteur, écrivain polémiste, l’homme qui a gagné trente-trois millions de francs en 1998, rien qu’en murmurant des conseils à l’oreille des patrons, n’est pas, à leurs yeux, un consultant ordinaire, plutôt un confesseur, un coach, un psychanalyste et une assurance. Dans Paris intra-muros, mieux vaut avoir Alain Minc avec soi que contre soi... A cinquante ans, l’ancien major de l’inspection des finances est devenu un as du zigzag professionnel et politique, un orfèvre de la mondanité rentable, un maestro de l’OPA tonitruante. Mais, dans l’esprit de ses contemporains, une question demeure : à quoi sert-il vraiment ? Avec son fonctionnement intimiste et secret, aurait-il un rôle dans une France moderne et transparente ou n’est-il que le dernier des Mohicans d’un capitalisme opaque et incestueux, un marchand d’illusions ? Un portrait iconoclaste qui est aussi un voyage au cœur des réseaux de pouvoir.