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Nous sommes en Algérie dans un petit village sans nom, un village meurtri, de nulle part et de partout. La guerre qui s’étend des montagnes jusqu’à la mer n’altère en rien la beauté du ciel et de la terre, la lumière sur le jardin des morts, le silence d’une population fière et misérable. Le narrateur parcourt inlassablement à pied et à cheval le pays auquel il s’est rapidement attaché. Au cours de ses promenades dans une nature qui l’exalte et le fascine, il se livre à une méditation angoissée sur son destin et se pose indéfiniment des questions sur le bien et le mal, l’avilissement et la corruption des hommes, l’absurdité de la guerre. Son esprit d’observation s’aiguise au jour le jour et, pour éviter de céder à la panique intérieure dont il se sent menacé, il étudie avec attention ses compagnons de garnison, les habitants, les femmes surtout et parmi elles, la belle et touchante Kheira. À la fin de ce récit il sent monter en lui une sauvagerie du début des âges et choisit de s’enfoncer dans la solitude comme le sanglier dans sa bauge.