Le Père Gaubil (1688-1759) avait fait une étude particulière de l’astronomie et des mathématiques quand il partit pour la Chine. Il y apprit le chinois et le mandchou, devint interprète de la cour impériale pendant près de trente ans. Il avait consulté la plupart des livres astronomiques des Chinois, calculé et vérifié les éclipses rapportées par eux. Il fut nommé membre de l’Académie de Saint-Pétersbourg et correspondant de l’Académie des sciences de Paris. Il mourut à Pékin. Traduction du Shu-ching (livre d’histoire), selon de Guignes, basé principalement sur une traduction mandchoue et bien paraphrasée. De Guignes a utilisé le texte chinois pour vérifier la traduction de Gaubil. Celui-ci pensait que les Chinois voyaient cet ouvrage comme un livre sacré, mais de Guignes le prenait comme une section accessible du grand schéma qui servait à démontrer les connections sino-égyptiennes.
Édition électronique de l’un des cinq textes classiques et sacrés de la culture chinoise, enrichie d’un Discours Préliminaire, qui contient des Recherches sur les temps antérieurs à ceux dont parle le Chou-king, et une Notice de l’Y-king, autre Livre Sacré des Chinois.
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