Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Qu’est-ce que le roman relativiste ? Vladimir Volkoff essaye de répondre à cette question en étudiant un cas concret : le Quatuor d’Alexandrie de Lawrence Durrel. Cette étude, il la conduit avec tout l’enthousiasme qu’il ressent devant l’art somptueusement baroque de celui qu’il surnomme Lawrence le Magnifique, ingénieur du style, chimiste du verbe, photographe, accessoiriste, nomenclateur, psychologue et grand maître des métaphores. Ouvrage de critique littéraire, sans doute — Vladimir Volkoff y recourt à des notions qui lui sont chères : garants du concret, estompement, relais, marchand d’images opposé à marchand d’idées — Lawrence le Magnifique est aussi un tribut qu’un écrivain tient à rendre à l’un de ses maîtres, mais un tribut d’où ressort toute une théorie du relativisme développée en trois points : 1.Création d’un continuum où le temps n’est plus présenté dans sa pulsation chronologique, mais par tronçons de durée intercalés en fonction de nécessités autres que temporelles. 2.Utilisation d’une perspective cubiste permettant de présenter simultanément les diverses faces d’un même objet. 3.Reconnaissance du fait qu’un roman est un roman et non une fausse histoire vécue, de même qu’une peinture n’est pas un faux paysage. C’est à partir de ces conceptions que pourrait s’établir ce « Classicisme de l’an deux mille » que l’auteur des Humeurs de la mer appelle de tous ses vœux.