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La communauté internationale, qui se retrouve en novembre 2015 à Paris, avait promis en 2009, au sommet de Copenhague, de maintenir le réchauffement sous le seuil d’une augmentation de 2° C par rapport à la température moyenne de la période préindustrielle.
Cet engagement ne sera pas respecté. Il est désormais trop tard : les États-Unis devraient faire baisser leurs émissions de 15 % par an, la Chine de 10 %, l’Europe de 6 %.
Vu les inerties combinées du système économique mondial et de la machine climatique, il est devenu illusoire de conserver un climat stabilisé sous cette limite. Le temps que nous avions pour agir, nous l’avons perdu en tergiversations, en vaines discussions.
Comment et pourquoi la science climatique a-t-elle été si longtemps ignorée, relativisée, mise en doute ? Dans les coulisses de cette bataille, où Stéphane Foucart, journaliste scientifique au journal Le Monde, nous fait pénétrer, le lecteur trouve pêle-mêle l’ignorance, le mensonge et la manipulation.
Le constat est glaçant : c’est la vérité de tout un domaine d’étude qui est menacée de disparition. Au risque de démobiliser l’opinion et d’encourager l’inaction des politiques et d’abandonner toute éthique scientifique.