Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
S’intéresser à Paul-Émile Borduas, à ses succès comme à ses échecs, à ses espoirs comme à ses doutes, c’est chercher à comprendre le devenir d’une communauté canadienne-française qui tentait, dans les années 40 et 50, de s’approprier une modernité troublante et fugitive. Comme dans ses premiers travaux sur Fernand Dumont ou Gérard Pelletier, la question qui anime Jean-Philippe Warren est celle des origines de la Révolution tranquille. Mais cette fois-ci la démarche est différente, puisqu’il étudie un homme qui a très tôt rompu avec le Canada français de son enfance et a tenté de lui substituer une éthique radicalement autre. Il s’agit donc de cerner les méandres de l’évolution ayant conduit Borduas à adopter une méthode picturale en rupture nette avec l’académisme de son temps, et aussi de dégager de manière globale sa vision de la vie et de la société. En ajoutant une touche nouvelle au portrait déjà esquissé d’un des plus grands artistes et intellectuels canadiens du XXe siècle, ce livre permet de jeter un éclairage neuf sur une période charnière de l’histoire du Québec.