Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Les Romains ont longtemps que leur armée était invincible. Mais ils ont eu la preuve du contraire lors de la "crise du IIIe", une crise fondamentalement militaire, avec économiques, sociales et même culturelles et religieuses. Pendant des décennies, les historiens ont cru qu'ils pouvaient faire l'économie de l'histoire militaire pour écrire l'histoire du me siècle. A quoi bon étudier les guerres ? Et l'armée romaine ? Ils n'ont jamais pensé, non plus, aux ennemis. Bien pire, ils ne se sont même pas demandé comment la guerre était financée, et encore moins si elle pouvait l'être. Yann Le Bohec, qui enseigne l'histoire romaine à la Sorbonne, a abordé le sujet. Non sans jubilation, et avec une ironie discrète, il pointe du doigt les préjugés qui ont fait naître des erreurs parfois énormes. C'est ainsi qu'on a reproché aux fantassins romains de se laisser distancer par les cavaliers barbares, alors que ces derniers étaient eux aussi des fantassins. Les lecteurs retrouveront ici ses qualités de récit et d'écriture, la rigueur et la méthode dont il a fait preuve dans d'autres livres consacrés à l'armée romaine... et à ses ennemis.