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Avec L’Argent de poche, l’auteur des 400 coups et de L’Enfant sauvage continue d’explorer l’univers de son enfance. Sylvie est privée de restaurant à la suite d’un caprice, Richard prête à deux copains l’argent destiné au coiffeur, Oscar refuse de parler et préfère s’exprimer en sifflant, Bruno ne veut pas réciter « avec les intonations », Grégory fait une chute de plusieurs étages, Patrick devient amoureux de la mère de son copain, Julien est maltraité à la maison, Martine vit son premier baiser en colonie de vacances : on voit que la trame de L’Argent de poche est constituée de petits événements, mais il faut se rappeler que rien n’est petit de ce qui concerne l’enfance. Certains des épisodes sont gais, d’autres graves, certains sont de pure fantaisie, d’autres sortent tout droit de faits divers cruels, l’ensemble devant illustrer l’idée que l’enfance est souvent en danger, mais qu’elle a la grâce et qu’elle a aussi la peau dure. L’Argent de poche voudrait, en même temps, poser cette question : Pourquoi, dans les luttes que mènent les hommes, les enfants sont-ils si souvent oubliés ?