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Et si la France se préparait, une nouvelle fois, à être en retard d’une guerre ? Impertinente question. C’est pourtant le général Paris, spécialiste d’histoire militaire et de réflexion stratégique qui la pose, au vu de l’abandon de la conscription et de la réforme du système de défense décidés par Jacques Chirac. À chaque révolution dans l’armement – de l’arbalète sonnant le glas de la chevalerie au fusil à silex inaugurant les guerres modernes et leurs gigantesques tueries, jusqu’à la domestication de l’énergie atomique – la certitude de posséder l’arme absolue s’imposa. Avec les résultats que l’on connaît. Mêlant avec brio toutes les expériences accumulées, des campagnes de l’Antiquité à la guerre froide, le général Paris nous invite à reconnaître la pérennité de la violence armée et à faire montre d’intelligence historique en raisonnant dans la longue durée. Il s’inquiète de voir la France se doter d’un outil militaire inadapté à ses options diplomatiques. En axant les forces sur l’intervention extérieure, le président de la République, explique-t-il, prive la construction européenne d’une défense intrinsèque dont il abandonne la responsabilité à l’Allemagne. Une réflexion exigeante et dérangeante qui amène à s’interroger sur l’avenir du continent.