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L’art de marcher est l’aboutissement d’une longue patience. Il faut beaucoup d’application et d’audace avant de trouver une foulée, un allant, un esprit. C’est ce lent apprentissage dont l’auteur a voulu retracer l’histoire. Choisissant les écrivains pour guides, Jean-Louis Hue a suivi Pétrarque sur les pentes du Ventoux, Bashô au plus profond du Japon, William Wordsworth sous la pluie du Lake District, Henry-David Thoreau dans les forêts du Maine, Flaubert le long des rivages bretons, Stevenson à travers les Cévennes, retrouvé Rousseau sur ses terres familières – et le promeneur solitaire a joué un rôle décisif dans l’histoire de la marche. Chacun de ces écrivains a suivi une voie singulière. Rebelles qui fuient leur époque , mélancoliques dont le mouvement soulage les idées noires, prophètes, mystiques, mauvais coucheurs, excentriques, garnements avides d’échappées belles. Ces voyageurs furent des pionniers. L’auteur a partagé leurs habitudes, leurs enthousiasmes, leurs rêveries, leurs fatigues aussi. Parfois, il les a abandonnés en chemin. Pris d’une paresse soudaine, lassé des antipodes, renâclant devant l’épreuve d’une escalade ou d’un trop long parcours, il a pris pour raccourci le chemin des bibliothèques. Pérégrinant à travers le monde et dans les livres, on découvre une histoire de la marche , tout à la fois érudite, surprenante et allègre. Les chemins de la marches ne sont jamais loin de ceux de la sagesse.