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Qu’attendre de l’Afrique noire ? René Dumont a dit qu’elle était mal partie. Albert Meister se demande si elle peut partir, du moins avant longtemps. Trois pays de l’Afrique orientale colonisés par la Grande-Bretagne : Kenya, Ouganda, Tanganyika, lui ont fourni la matière d’une étude approfondie et de conclusions sévères qui s’étendent souvent à l’ensemble de l’Afrique noire. L’avènement de l’indépendance n’a pas vraiment transformé les structures, et les mœurs des pays développés, propagées par une nouvelle culture internationale, se combinent avec les résistances de la société traditionnelle pour paralyser les tentatives de développement. On parle de « socialisme africain », mais est-ce autre chose qu’un alibi pour éluder les nécessités de l’évolution ? Et les « nouveaux missionnaires » de la coopération, n’arrivent-ils pas trop tard, — ou trop tôt ? En lisant cette enquête impitoyable, on se demande parfois si l’Afrique n’est pas un continent perdu. Son salut n’est concevable que dans la voie d’un socialisme dur et pur, au-delà d’une modernisation inéluctable. Il faudra encore des années de pauvreté et de secousses politiques avant que l’Afrique arrive au stade où se trouve actuellement l’Amérique latine : au seuil de sa révolution. L’auteur a pensé que si l’on pouvait faire peu de choses aujourd’hui pour l’Afrique, on lui devait en tout cas la franchise. Son analyse, si rude soit-elle, est axée sur ce « lointain demain où l’Afrique noire pourra réellement partir ».