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« Lacan, le contre-tansfert… deux sujets de débat privilégiés. Le débat avec l’œuvre de Lacan a longtemps été gâché par l’enjeu pratique et politique, nous n’en sommes plus là. Quelle que soit la fermeté des critiques que l’on peut formuler, nul ne peut contester la part vive prise par Lacan à la construction progressive de la théorisation en psychanalyse. Le contre-transfert… il suffit de se souvenir des mots inquiets de Freud devant cette découverte dont il se serait bien passé (le « maîtriser », le « surmonter »), pour comprendre à quel point le contre-transfert impose à la psychanalyse de débattre avec elle-même. La question du contre-transfert est au cœur d’une théorie de la pratique. Lacan et le contre-transfert… Ce débat, Lacan l’a d’abord lui-même mené en discutant notamment les contributions anglaises de son époque, et l’on découvre alors chez lui une position beaucoup plus complexe que celle qui lui est ordinairement prêtée, celle d’un rejet, presque d’une négligence de la notion. Reste les conditions du présent débat. Chacun, concerné par la psychanalyse, a fait l’expérience de ces colloques ou ouvrages qui voient s’additionner les contributions dans l’ignorance réciproque de ce que le voisin a bien pu penser. Le présent ouvrage procède d’une tout autre logique. Le texte de Patrick Guyomard, qui en constitue l’ouverture, a été proposé à la réflexion des différents auteurs plusieurs mois avant que nous nous réunissions — sous l’égide du Centre d’Études en Psychopathologie et Psychanalyse (CEPP) de l’université Paris Diderot —, et c’est ce débat que le livre restitue. » (Présentation)