Dans son deuxième roman, Morten Brask retrace le destin passionnant et tragique de William James Sidis (1898-1944), considéré comme l'un des plus grands surdoués de tous les temps.
Dans son deuxième roman, Morten Brask retrace le destin passionnant et tragique de William James Sidis (1898-1944), considéré comme l'un des plus grands surdoués de tous les temps.
C'est en 1910 à Harvard que William Sidis donne sa première conférence devant un parterre composé de quelques-uns des professeurs et chercheurs américains les plus éminents. Alors âgé de 11 ans, il est déjà étudiant de cette prestigieuse université. Le lendemain, tous les journaux titrent sur le " phénomène " Sidis : lecture du New York Times à 18 mois, maîtrise du latin et du grec – qu'il a appris seul – à 3 ans, rédaction d'ouvrages de grammaire, d'astronomie et d'anatomie à 8 ans, âge auquel il avait même déjà inventé une langue, le Vendergood. D'aucuns prédisent qu'il sera le prochain Newton ou Euclide.
Alors pourquoi l'histoire n'a-t-elle pas retenu le nom de Sidis ? Qu'est-il arrivé à cet enfant prodige que ses parents n'ont cessé de pousser ?
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