Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
Elle est une sportive chevronnée et infirmière aux urgences. Lui, est journaliste, spécialisé dans le sport. Le destin de Vanessa Morales et Geoffrey Charpille ne paraissait pas lié au premier abord. Et pourtant, après une première rencontre sur un plateau télévisé, ils se sont rendus à l’évidence. Ils devaient travailler ensemble. Vanessa voulait raconter une histoire. Son histoire. Avec de nombreux rebondissements. Geoffrey avait toujours voulu écrire. Une idée. Un mot. Une émotion. Une phrase. Une page. Plusieurs pages. Avec un dénouement inattendu. Plus qu’une simple rencontre professionnelle, une véritable histoire de confiance et d’amitié s’est créée entre ces deux personnes, avec une ambition commune : le partage et l’optimisme.
À PROPOS DES AUTEURS
Vanessa Morales est une jeune toulousaine de 35 ans qui ne recule devant rien. Pendant un an, cette infirmière, maman d’un garçon de 14 ans, s’est entraînée durement, notamment à ITEPS Sport de Muret, sous la houlette de Laurent Albo, en vue de gravir le Kilimandjaro en un temps record. Son défi a eu lieu le 16 septembre dernier. Ce jour-là, Vanessa a dû combattre les effets de l’altitude, puisqu’en peu de temps, son organisme est passé de 1 300 m à 5 895 avec les risques d’œdèmes cérébral ou pulmonaire que cela pouvait provoquer. Mais visiblement le plus difficile n’était pas là.