La tour d'Ariège
Il est des récits qui valent l'Histoire ; d'autres qui ne valent pas grand-chose ; les gardiens d'opinion en disent là-dessus bien plus qu'ils n'en pensent, c'est-à-dire « que va-t-on dire ? »
Ce récit est une page d'Histoire. Ce champ de batailles est jonché de débris. Encore les enlaidit-on par des moralités exemplaires codées à la codéine du temps et réduites à des nouveautés réduites à l'usage des garde-barrières.
Le morceau dérobé ici est en lambeaux ; non d'avoir été trop lu, mais d'avoir subi les railleries du temps. Quel désordre aussi ! Est-ce dans l'Histoire un épisode de l'histoire des illusions ? Quand et où cessèrent les violences insensées que la raison humaine a produites sans relâche, dans l'intérêt de l'humanité ? Comme je n'en sais rien, j'ai choisi l'époque que je connais le mieux.
Parmi les grands thèmes dont on n'aura pas trace ici : le trésor des cathares, la félonie et l'absurdité des monarques, les considérations sur la liberté se libérant elle-même, la barbarie des gens bien élevés (pour cet article, Internet suffit). Faut-il sortir de l'ENA pour suivre le fil ? Une porte dérobée seulement, dont le fil cède d'un seul coup.
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