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À l’orée de l’an de disgrâce 2020, un germe roturier, échappé des bas-fonds de la nature, est sacré roi Covid XIX du jour au lendemain. Couronné monarque des agents infectieux, il fait régner un climat de terreur à une humanité soumise à son joug. Ce régime d’occupation du corps humain par le microbe le plus infâme du premier quart du 21e siècle demeure toutefois sans commune mesure avec l’emprise millénaire d’un macrobe autrement virulent, le roi auto-proclamé de la création : Homo corona… À travers son œil ironique de martien, survolant l’humanité à vingt mille lieues dans les airs, l’auteur de cette fresque cathartique au vitriol épingle la myopie et le court-termisme jusqu’au-boutiste du singe « doué de raison » face au chaos climatique en cours. Richement innervé de métaphores-chocs, ce pamphlet rimé d’un genre inédit braque sur le devenir de notre espèce en perte de contrôle un regard désespérément lucide, à la façon dont un « macrobiologiste » extraterrestre se pencherait depuis l’espace sur la souche virale nommée « Sapiens ». À l’heure où « l’immunité » du système Terre commence à rudement rétroagir avec la « maladie de l’homme », quel espoir de survie subsiste-t-il à l’incorrigible bipède esclave de son cerveau reptilien ?