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Plus on tue on nom de l’islam, plus l’Occident combat « l’islamophobie », plus on parle en bien de l’islam pour ne « pas faire l’amalgame… Tel est le paradoxe de « l’islamiquement correct », formulé par Alexandre del Valle quelques jours après le 11 septembre 2001, signifiant le fait que la médiatisation des attentats jihadistes ne déclenche pas dans nos sociétés culpabilisées une mise à l’index des préceptes sacrés qui justifient la violence islamistes, mais renforce au contraire la propension à présenter toujours l’islam de façon positive. Le mythe central de cette nouvelle doxa islamophile étant la supposée « supériorité morale, philosophique et scientifique de l’islam » dont les merveilles auraient précédé et même permis les Lumières européennes. Un mythe Del Valle réduit en s’appuyant les meilleures recherches historiques.
Mais dans le même mouvement, quand l’islamisme terroriste fait couler le sang, les grandes structures de l’islam institutionnel vantent les mérites intrinsèques de l’islam et pleurent le triste sort de leurs fidèles soit-disant exposés à « l’islamophobie », alors que ces derniers jouissent en occident de tous les droits dont sont privés les non-musulmans en terre d’islam. Del Valle décrit ainsi en détail la stratégie de ces organisations chargées par les grands pôles de l’islam sunnite (Ligue islamique mondiale, Organisation de la Coopération islamique, ISESCO) de criminaliser toute critique de l’islam et de faire plier les démocraties occidentales en imposant l’exceptionnalisme musulman.
En montrant l’articulation de ces deux phénomènes, Del Valle réalise une démonstration jamais produite à ce jour, apportant la preuve que terrorisme jihadiste d’un côté et criminalisation de la critique de l’autre, fonctionnent profondément de concert.