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Margrethe vient d’avoir 20 ans et veut vivre ; elle s’intéresse à la politique, mais aime par-dessus tout le jazz, la mode, et danser plus encore. Margrethe n’aurait jamais dû être là, vivre cela… Margrethe vient d’avoir 20 ans en juillet 1940 ; un juillet sans été, sans la chaleur des rires, des regards et des siens, un juillet sans vie. Margrethe est belge, perdue dans une tourmente de sang et de cris, sans nouvelles des siens. Margrethe va bientôt découvrir qu’elle est juive aussi, dans une Europe écrasée par les nazis… Elle a froid et il fait déjà nuit. Les hasards de la débâcle l’ont projeté derrière une machine à écrire, au secrétariat du dernier Président de la République, en fuite à travers la France envahie. Nous sommes le soir du 10 juillet 1940, à Vichy, la nuit où la République va être trahie par ceux pour qui la défaite n’a pas été un cauchemar, mais une occasion. « Il ne faut pas » que le Président signe cette loi, votée dans la peur, le mensonge et le désespoir. "Il ne faut pas" ! le suppliera Margrethe... « La signature » : la tragédie d’une nuit où les êtres sont seuls face à eux-mêmes. Vérité, conscience et destin se heurtent soudain à l’heure où plus aucune fuite n’est possible : soumission ou combat, désespoir ou espoir. Surgit alors cependant notre humanité de peur, d’oubli, d'épuisement, l’éphémère et la fragilité des mots sur une page, le souffle déjà passé d’une inconnue… Margrethe vient d’avoir 20 ans.