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Selon Jacques André, « la rencontre du patient avec l’analyste est une scène de séduction, l’énoncé séducteur étant bien l’énoncé de la règle fondamentale, soit l’invitation de livrer le plus intime au plus étranger. » Mais l’exercice de la psychanalyse ne peut se produire que dans un strict respect de l’éthique. Les mots séduction et éthique, qui à première vue semblent s’exclure, sont donc, comme le montre Viviane Chetrit-Vatine, au cœur de la perspective analytique.L’éthique de l’analyste est réexaminée et avec elle les origines féminines/maternelles de la capacité humaine de responsabilité pour l’autre. La question de l’asymétrie de la situation analytique est posée non plus en termes de pouvoir mais en termes de responsabilité : responsabilité pour le cadre analytique dont l'analyste reste le gardien, responsabilité pour le processus analytique duquel il est partie prenante compte tenu des effets de séduction inhérentes à la situation comme à sa propre et nécessaire passion, éthique de la suffisamment bonne distance, éthique enfin de l’analyste contemporain en sa responsabilité pour l’autre, cet étranger, mon patient…