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Comme prolongement de ses investigations sur le corps, le « Centre de Recherche sur l’Espagne des XVIe et XVIIe siècles » (C.R.E.S.-U.R.A. 1242 du CNRS) a programmé, en collaboration avec l’U.R.A. 1050 de Toulouse (« Littérature espagnole du Siècle d’Or » — L.E.S.O.), une journée d’étude, qui s’est déroulée à Paris, au Collège d’Espagne, le 29 mai 1992, et qui a porté sur La peur de la mort en Espagne au Siècle d’Or. Littérature et iconographie (analyse de quelques exemples). Il s’agissait moins de s’interroger sur l’essence de cette peur que sur ses manifestations en l’appréhendant à travers quelques supports particulièrement significatifs. Il est ainsi apparu que la ligne dominante des textes et des documents iconographiques examinés est celle du désabusement et de l’ascétisme suscités par la peur de la mauvaise mort et des peines de l’enfer qui la prolongent. C’est ce que traduisent traités, sermons, œuvres théâtrales, gravures, représentations picturales, etc. Ce sont là des manifestations diverses de la « pédagogie de la peur » utilisée par l’Église, avec plus d’intensité après le Concile de Trente, et avec plus de vigueur en Espagne — champion de la catholicité — qu’ailleurs. C’est par là que passait l’emprise religieuse et ecclésiastique sur les esprits, comme le mettent en évidence les Actes de la rencontre publiés aujourd’hui.