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"'Pour ce qui est du je-ne-sais-quoi dont les traits sont plus marqués, il est presque universel : il fait son impression sur le sentiment même du vulgaire, qui en est touché, bien que ce soit ordinairement sans y réfléchir', écrit Gracián.
Voici donc de l'inconscient avant la lettre : la moustache serait-elle un je-ne-sais-quoi ?
Répondre à une question par une question est bien sûr une insulte à la raison, à moins d'être en présence d'un Socrate, mais peut-être les images – photos, films, caricatures, affiches, graffitis – ne se laissent-elles pas prendre à la logique des textes. Elles ne permettent pas non plus de réduire la tyrannie obsédante d'un visage à des équations. Les images renvoient à d'autres images, et le visage d'Adolf Hitler, aussi laid et comique soit-il, appartient à une histoire de la peur et de la séduction, à une histoire du sacré et de la profanation des idoles, en un mot à une histoire des images qui reste en grande partie à écrire." Alain Jaubert.