Ici, après La chair de la Salamandreet L’assassinat du mort, on retrouve une fois encore dame Braïda, décidément très curieuse, laquelle aura fort à faire avec un pendu qui n’en demandait pas tant et des mouches récalcitrantes.
Bien sûr, les hommes du guet sont là aussi, égaux à eux-mêmes, c’est à-dire à pas grand’chose. Un chevalier du Temple vient enfin renforcer la galerie de portraits et, bien que son état lui interdise en principe l’amour terrestre... mais la nature humaine étant ce qu’elle est...
Bref, ce polar médiéval, toujours aussi sanglant et joyeux, reste dans la veine des précédents volumes, avec son humour déjanté et sa langue diablement vivante...
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