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Un nouveau spectre hante le travail social : le néolibéralisme. La dénonciation de son triomphe permet de s’exonérer à bon compte d’une réflexion sur les mutations réelles et combinées, voire quasiment synchronisées, du travail social, du travail associatif et du travail militant. Souligner le caractère souvent rhétorique de la marchandisation ne revient pourtant pas à nier la réalité du phénomène, ni à minimiser l’importance de ses enjeux… Il faut donc aller à contre-courant de la sociologie dominant le secteur social, qui reste focalisée sur la critique tout en s’arrogeant le monopole de la lucidité. Les dénonciateurs du néolibéralisme dans le secteur social, abondamment armés pour la critique, ne jouissent pas d’un semblable privilège théorique en ce qui concerne l’œuvre constructive alternative. Le développement de sa propagande ces dernières années peut se résumer à un simple travail d’agitation et de répétition, plus ou moins grandiloquent et invariable. L’ouvrage s’emploie à répondre point par point à cette critique.