Après Bohème et La Vie privée publiés aux éditions Gallimard, Olivier Steiner clôt ce tryptique sur ses années de formation avec La main de Tristan.
Ce troisième texte n'est pas tout à fait un roman, pas tout à fait un récit. C'est une lettre d'amour, un journal de deuil. Ou simplement un roman au sens que lui donne Pascal Quignard : « le roman est l'autre de tous les genres. »
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