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Dans une colonie imaginaire, les Fonctionnaires remplissaient leurs fonctions quand, un jour, on décida de les remplacer par un monstre moderniste : la machine. Jour et nuit, sans congés, sans dimanches, sans fin, la machine propose, calcule, corrige, digère, administre. Elle sait tout, elle décide de tout et parle même français « avec l’accent américain ». Cependant, les Fonctionnaires continuent à travailler en s’envoyant des lettres les uns aux autres. D’une façon symbolique, l’Administration fonctionne sans aucune action sur le monde extérieur. La machine révèle ainsi des vérités surprenantes. Mais, de l’employé et de la machine, qui détient la vérité de l’autre ? Une préface, écrite en vue de l’édition italienne, nous apprend que cette fiction est aussi le récit déguisé d’une psychanalyse. S’il est vrai que l’auteur a écrit cette chronique au cours de sa propre analyse, il est vrai aussi que, d’après lui, « nous sommes tous colonisés ».