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Au départ, la situation n’a rien que de très naturel. Un professeur accueille sa jeune élève pour des cours particuliers. Elle apprend ce qu’on lui enseigne. Le professeur est obséquieux et son élève espiègle : c’est dans l’ordre des choses. Pourtant, très rapidement, cette mécanique familière se détraque et s’emballe. Frustré par les lacunes de son élève, le professeur se fait de plus en plus exigeant. Des présentations galantes, on passe à l’arithmétique, à la linguistique, puis à l’hypnose. La leçon tourne à la leçon de choses. Peu à peu, l’élève abrutie devient femme-objet, et la mécanique poursuit encore et toujours son accélération. Parodie de l’apprentissage répétitif, cette Leçon sous tension est aussi la satire de toute relation d’autorité. Loin d’être l’instrument de la connaissance, le langage s’y révèle l’alibi d’un pouvoir absurde et pervers, d’un engrenage pulsionnel qui tourne à vide, guettant sa prochaine proie.