Standaard Boekhandel gebruikt cookies en gelijkaardige technologieën om de website goed te laten werken en je een betere surfervaring te bezorgen.
Hieronder kan je kiezen welke cookies je wilt inschakelen:
Technische en functionele cookies
Deze cookies zijn essentieel om de website goed te laten functioneren, en laten je toe om bijvoorbeeld in te loggen. Je kan deze cookies niet uitschakelen.
Analytische cookies
Deze cookies verzamelen anonieme informatie over het gebruik van onze website. Op die manier kunnen we de website beter afstemmen op de behoeften van de gebruikers.
Marketingcookies
Deze cookies delen je gedrag op onze website met externe partijen, zodat je op externe platformen relevantere advertenties van Standaard Boekhandel te zien krijgt.
Je kan maximaal 250 producten tegelijk aan je winkelmandje toevoegen. Verwijdere enkele producten uit je winkelmandje, of splits je bestelling op in meerdere bestellingen.
De 1875 aux années 1920, de Tourrettes-sur-Loup, sur les hauteurs de Nice, à Paris, quatre générations de femmes volontaires et indépendantes vont se succéder pour que vivent leurs passions. De Rosine, la courtisane, à Béatrice, " nez ", c'est la culture de la violette, fleur à parfum par excellence, qui scellera leurs destins.Rosine, fille de modestes paysans, quitte son pays de la violette pour cacher sa grossesse. A Paris, elle devient courtisane. Son ascension est rapide, d'autant que vers 1880 apparaît cette nouvelle forme d'amour vénal, hors des traditionnelles maisons closes. Sa fille Eloïse, née dans la rue, sera placée en nourrice et vivra de la couture à Lyon. Emma, fille d'Eloïse, passionnée de couture, de création, travaillera pour Paul Poiret. Ses chapeaux, souvent ornés d'un bouquet de violettes, rencontrent un grand succès. De sa passion avec un aristocrate tué sur le front en 1916 naîtra Béatrice. Années folles – sur fond de jazz et de surréalisme – qu'Emma vit intensément, en femme libre, au bras d'un journaliste américain ami d'Hemingway ; elle fréquente Jean Cocteau, Paul Iribe... Béatrice, elle, est fascinée par le monde du parfum qu'elle découvre dans l'entourage de Coco Chanel. A la faveur d'un séjour à Grasse, elle retrouve la trace de ses ancêtres sur le domaine de la Fontaine aux Violettes, dont on se transmet le nom dans la famille depuis 1875. Elle devient " nez " à Grasse et s'éprend d'un réalisateur de cinéma aux Studios de la Victorine, à Nice. Béatrice finit par racheter la Fontaine aux Violettes, là où tout a commencé ; elle y développe la culture des fleurs à parfum. Elle sera la première femme de sa famille à connaître le bonheur...