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De toutes les unités allemandes engagées sur le Front de l’Est, la division Totenkopf « Tête de mort » fut l’une des plus redoutables. Se targuant d’avoir été recrutés parmi les formations de l’Ordre noir SS, les combattants de choc qui servaient dans ses rangs étaient considérés comme des nationaux-socialistes fanatiques à qui on pouvait confier les plus dures missions. C’est sur le Front de l’Est que la « Tête de mort » devait donner toute sa mesure ; elle y gagna une réputation qui amena tous les généraux à souhaiter son intervention dans leur secteur. La division participa à la grande attaque sur Leningrad et s’ouvrit de vive force un passage à travers la ligne Staline. Encerclée au sud-est du lac Ilmen, par un froid de -40°, les combattants allemands, ravitaillés par avion, parvinrent à résister à tous les assauts russes. Pratiquement réduite à néant après ces durs combats, la Totenkopf fut reformée en France et équipée de blindés. Elle participa à la reprise de Kharkov avant de devenir, quelques mois plus tard, une unité d’intervention que l’on engageait partout où le Front allemand craquait sous les coups de boutoir des forces soviétiques, lancées dans la course vers l’ouest et le Reich lui – même. Les rares survivants de la formation se battirent en Autriche dans les derniers jours de la guerre. Ils furent livrés aux Soviétiques par les Américains. Bien peu revinrent des camps de prisonniers.