La fin du dix-neuvième siècle nous a appris une vérité douteuse : que la sexualité humaine est universelle. Depuis cette époque, nous nous sommes habitués à la singularité du plaisir, dans son principe toujours le même. Mais au dix-huitième siècle, on préférait parler de plaisirs au pluriel, et de l’art de les varier. Comment, dans les textes libertins et pornographiques, ce pluriel s’est-il transformé en singulier ? Cette transformation, historiquement, suppose une véritable crise.
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