Dans ces courts récits, tirés pour la plupart des jours heureux où, avec son frère, le grand matador Nimeño II, ils bâtissaient une des plus singulières aventures humaines que cet art puisse offrir, Alain Montcouquiol pose un regard plein d'affection sur les hommes, leurs peines, leurs grandeurs et leurs ridicules. Un regard à la bonne distance.
Si Alain Montcouquiol n'est pas le frère d'une statue (celle qui se trouve près des arènes à Nîmes), il n'en bâtit pas moins, à travers ces lignes, un monument aux héros oubliés, aux hommes, les humbles, les pauvres, les vaincus qu'il a croisés pendant toutes ces années, et que le rêve anachronique de la corrida sublime et transcende.
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