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Ahmed Sefrioui. Il est né à Fès vers 1915, de parents d’origine berbère, très arabisés. Le père, vieux baroudeur avant l’installation du Protectorat, s’établit artisan meunier à Fès aux environs de 1910. L’enfant fréquenta l’école coranique dès l’âge de cinq ans. Avec la complicité d’un de ses oncles il se fit inscrire à l’école franco-marocaine de son quartier. Ses études secondaires l’amenèrent au collège Moulay Idriss. Après le diplôme de fin d’études secondaires, la situation de ses parents l’obligea à chercher du travail. Il débuta comme interprète, garçon de bureau chez un avocat. Puis il passa le concours d’admission du Service des Métiers et Arts marocains. Il est maintenant sous-directeur du Musée de Batha à Fès. Son premier livre, Le chapelet d’Ambre, recueil de contes qui reçut le Grand Prix Littéraire du Maroc et le Prix du Président de l’Union française, fit dire à René Lalou, dans Les Nouvelles Littéraires : “Nous nous réjouissons de saluer, dans le premier écrivain marocain de langue française, un subtil musicien de notre prose”.